Le coin des épargnants
Le CAC 40 est toujours en dessous de la barre des 4300 points. En de semaine, il s’en est rapproché à 4295 points. En une semaine, la progression a été de 0,39 % et sur le mois, la hausse a été de 0,40 %. Il y a une barre psychologique autour des 4300 points. L’attentisme est de rigueur au vu des résultats américains sur un marché en mode pause du fait de Thanksgiving.
Depuis le début de l’année, le CAC 40 a gagné 17,97 % et 20,35 % en un an.
L’or ne fait plus recette. L’once de métal jaune se situe autour de 1250 dollars l’once après être tombé à près de 1225 en début de semaine, loin de ses records de 2012. Depuis le début de l’année le métal précieux a perdu près de 25 % de sa valeur à Londres.
Zone euro, le Sud va mieux, le Nord confirme, le centre hésite
Le Sud sort de la récession. L’Espagne et le Portugal retrouvent des couleurs au niveau de la croissance et de la balance commerciale. L’Italie reste en revanche toujours en deux eaux. Le Nord confirme avec néanmoins la perte du triple A pour les Pays-Bas .
L’Espagne a enregistré une augmentation de son activité économique au troisième trimestre de 2013, ce qui un fait nouveau depuis plus de deux ans.
La consommation, l’investissement des entreprises, ont montré des signes de stabilisation. Les exportations ont augmenté de près de 40% en volume depuis le printemps 2009.
Les coûts unitaires de production ont baissé, les investissements directs étrangers ont progressé le rétablissement de la profitabilité des entreprises a été importante.
Face à cette amélioration, l’Agence Standard & Poor’s a relevé le 29 novembre, la note de « négative » à « stable » pour la perspective attachée à la dette du pays, notée BBB-.
Zone euro, inflation en légère hausse, emploi en très légère baisse
Selon Eurostat, le taux d'inflation annuel de la zone euro est évalué pour le mois de novembre à à 0,9% contre 0,7 % au mois d'octobre dernier.
Ce petit ressaut a été occasionné par l'alimentation, les boissons alcoolisées & le tabac. Ont joué également à la hausse les services (1,5% contre 1,2% en octobre). En revanche, les biens industriels hors énergie restent stables avec +0,3%. En revanche, l'énergie continue de se contracter avec -1,1% contre -1,7% en octobre.
L'amélioration dans le Sud et la reprise de la demande interne allemande peuvent expliquer ces variations à la hausse qui demeurent néanmoins très limitées. L'inflation demeure en-dessous de la cible de 2 % de la BCE.
Selon Eurostat, dans la zone euro, le taux de chômage corrigé des variations saisonnières s'élève à 12,1% au mois d'octobre 2013 contre 12,2% relevé en septembre. Dans l’Union Européenne, le taux de chômage a été de 10,9%, stable par rapport au taux relevé en septembre.
En octobre 2013, 26,654 millions d’hommes et de femmes étaient au chômage dans l’Union dont 19,298 millions dans la zone euro. Par rapport à septembre 2013, le nombre de chômeurs a diminué de 75 000 dans l’Union et de 61 000 dans la zone euro. Comparé à octobre 2012, le chômage s’est accru de 512 000 personnes dans l’Union et de 615 000 dans la zone euro. Le chômage demeure au plus bas en Autriche (4,8%), en Allemagne (5,2%) et au Luxembourg (5,9%). Il demeure au plus haut en Grèce (27,3% en août 2013) et en Espagne (26,7%). Sur un an, le taux de chômage a augmenté dans la moitié des États membres et a baissé dans l’autre moitié. Les plus fortes hausses ont été enregistrées à Chypre (de 13,2% à 17,0%), en Grèce (de 25,5% à 27,3% entre août 2012 et août 2013) et aux Pays-Bas (de 5,5% à 7,0%).Les baisses les plus marquées ont été observées en Lettonie (de 14,0% à 11,9% entre les troisièmes trimestres 2012 et 2013), en Irlande (de 14,5% à 12,6%) et en Lituanie (de 13,0% à 11,1%). La France, avec un taux de chômage à 10,9 % se situe dans la moyenne pour l'Union européenne (10,9 +%) et en-dessous de la moyenne de la zone euro (12,1 %).
A titre de comparaison, au mois d'octobre 2013, le taux de chômage a été de 7,3% aux États-Unis, en hausse par rapport au taux de 7,2% enregistré en septembre 2013 et en baisse par rapport au taux de 7,9% observé en octobre 2012.
France, de modestes espoirs et des craintes
La France a enregistré une baisse de son chômage grâce à l’amélioration de la situation de l’emploi chez les jeunes en relation avec le développement des emplois aidés. Il faut noter que les départs à la retraite contribuent également à ce mouvement. En revanche, le chômage de longue durée se développe et concerne plus de 40 % des demandeurs d’emploi.
Questions craintes, les indicateurs relatifs à la confiance des ménages et de chiffres d’affaires redeviennent négatifs. De même, le recul de la consommation en octobre témoigne de la persistance de la crise. Les augmentations d’impôts pèsent sur l’activité économique plus fortement que prévu. Une augmentation d’un point de PIB des impôts réduit la croissance d’un point. De ce fait, le trend de la croissance reste toujours mal orienté.
Allemagne, Angela Merkel à la tête de sa deuxième grande coalition
Après 66 jours de négociation, la grande coalition est sur les rails. Ce délai dépasse la durée moyenne qui était de 37 jours. Les deux partis sont arrivés à un accord écrit de 185 pages. Ce contrat prévoit l’introduction d’un salaire minimum, l’abaissement de l’âge de départ à la retraite, la double nationalité pour les enfants nés en Allemagne de parents non ressortissants de l’UE, la parité homme-femme au sein des entreprises. Ces mesures sont issues du programme du SPD. L’ensemble de ces mesures représente 23 milliards d’euros sur 4 ans soit 1 point de PIB annuel. Le contrat de coalition semble donc, à première vue participer du changement de cap économique, que les Etats-Unis, le FMI et la Commission européenne ont appelé de leurs vœux au cours des dernières semaines.
Le salaire horaire minimum sera fixé à 8,50 euros à partir de 2015 et devrait concerner 7 millions de salariés, soit 16% de la masse salariale. Toutefois, la nouvelle loi devrait exclure les apprentis, les travailleurs saisonniers et les « mini-jobs ». Les secteurs où les accords de branche sont inférieurs à EUR 8,50 auront jusqu’en 2017 pour s’aligner. En outre, une commission paritaire formée de représentants des salariés (3), des employeurs (3) et d’experts (2) se réunira régulièrement pour négocier la réévaluation annuelle du salaire minimum. Sur le front
des retraites, le SPD voulait faire abroger la loi de 2007 qui prévoit de repousser à 67 ans l’âge de départ à la retraite d’ici à 2029. Désormais, la retraite à taux plein pourra être touchée dès 63 ans, mais sous certaines conditions, à savoir uniquement pour ceux qui auront totalisé 45 ans de cotisations.
En revanche, le SPD a renoncé à ses exigences européennes. Le contrat de coalition s’oppose à toute idée de mutualisation de la dette ainsi qu’à l’instauration d’un fonds européen de garantie des dépôts. En revanche, il est favorable à l’utilisation des fonds du MES pour recapitaliser directement des banques en difficulté, dans la mesure où « tous les autres moyens prioritaires » auront été épuisés.
L’objectif d’orthodoxie budgétaire est maintenu avec le maintien de l’équilibre du solde budgétaire structurel d’ici à 2015 et la réduction de la dette qui devrait être
ramenée à 70% du PIB d’ici à 2017, contre 80% en 2013. Il est également convenu que le Gouvernement ne recourra pas à des hausses d’impôts pour financer le train de nouvelles mesures.
La CSU a obtenu quelques concessions de ses partenaires. Les automobilistes étrangers empruntant les autoroutes allemandes ainsi que les poids lourds traversant le pays devront acquitter un péage. Néanmoins, cette mesure est contraire au droit européen.
Cet accord sera soumis à référendum auprès des 473 000 adhérents du SPD. Ces derniers voteront par correspondance entre les 6 et 12 décembre. Les résultats seront annoncés le 15 décembre.
Si le « oui » l’emporte le 15 décembre, le Bundestag se réunira le 17 pour réélire Angela Merkel, pour la troisième fois. La Chancelière disposera alors de quelques jours pour former son gouvernement. Par le passé, la répartition des portefeuilles ministériels était calquée sur celle des sièges obtenus au Bundestag. Ainsi le SPD devrait disposer de six portefeuilles ministériels sur les quatorze du nouveau cabinet Merkel. La CDU en aurait cinq et sa petite sœur bavaroise, la CSU, trois.
Etats-Unis, toujours en mode hésitant
Le retour de la croissance forte est toujours attendu. Les indicateurs avancés régionaux sont incertains. L’évolution des carnets de commandes de l’industrie manufacturière tend à confirmer les résultats moyens des enquêtes régionales.
Certes, il faut noter que les créations d’emplois ont été supérieures en octobre aux prévisions avec un solde positif de 212 000. Mais, le taux de chômage reste calé à 7,3% en octobre. De ce fait, le taux de chômage reste bien supérieur à son taux naturel. Ce dernier est estimé à 5,5% par le CBO (Congressional Budget Office) et entre 5% et 6% par les membres du FOMC. La main d’œuvre disponible est ainsi bien supérieure aux offres d’emplois, pesant sur la formation des salaires, dont la progression en glissement annuel évolue aux alentours de 2% depuis deux ans et demi.
Dans ces conditions, la politique monétaire ne devrait pas être modifiée.
A suivre... next week
Le CAC 40 est toujours en dessous de la barre des 4300 points. En de semaine, il s’en est rapproché à 4295 points. En une semaine, la progression a été de 0,39 % et sur le mois, la hausse a été de 0,40 %. Il y a une barre psychologique autour des 4300 points. L’attentisme est de rigueur au vu des résultats américains sur un marché en mode pause du fait de Thanksgiving.
Depuis le début de l’année, le CAC 40 a gagné 17,97 % et 20,35 % en un an.
L’or ne fait plus recette. L’once de métal jaune se situe autour de 1250 dollars l’once après être tombé à près de 1225 en début de semaine, loin de ses records de 2012. Depuis le début de l’année le métal précieux a perdu près de 25 % de sa valeur à Londres.
Zone euro, le Sud va mieux, le Nord confirme, le centre hésite
Le Sud sort de la récession. L’Espagne et le Portugal retrouvent des couleurs au niveau de la croissance et de la balance commerciale. L’Italie reste en revanche toujours en deux eaux. Le Nord confirme avec néanmoins la perte du triple A pour les Pays-Bas .
L’Espagne a enregistré une augmentation de son activité économique au troisième trimestre de 2013, ce qui un fait nouveau depuis plus de deux ans.
La consommation, l’investissement des entreprises, ont montré des signes de stabilisation. Les exportations ont augmenté de près de 40% en volume depuis le printemps 2009.
Les coûts unitaires de production ont baissé, les investissements directs étrangers ont progressé le rétablissement de la profitabilité des entreprises a été importante.
Face à cette amélioration, l’Agence Standard & Poor’s a relevé le 29 novembre, la note de « négative » à « stable » pour la perspective attachée à la dette du pays, notée BBB-.
Zone euro, inflation en légère hausse, emploi en très légère baisse
Selon Eurostat, le taux d'inflation annuel de la zone euro est évalué pour le mois de novembre à à 0,9% contre 0,7 % au mois d'octobre dernier.
Ce petit ressaut a été occasionné par l'alimentation, les boissons alcoolisées & le tabac. Ont joué également à la hausse les services (1,5% contre 1,2% en octobre). En revanche, les biens industriels hors énergie restent stables avec +0,3%. En revanche, l'énergie continue de se contracter avec -1,1% contre -1,7% en octobre.
L'amélioration dans le Sud et la reprise de la demande interne allemande peuvent expliquer ces variations à la hausse qui demeurent néanmoins très limitées. L'inflation demeure en-dessous de la cible de 2 % de la BCE.
Selon Eurostat, dans la zone euro, le taux de chômage corrigé des variations saisonnières s'élève à 12,1% au mois d'octobre 2013 contre 12,2% relevé en septembre. Dans l’Union Européenne, le taux de chômage a été de 10,9%, stable par rapport au taux relevé en septembre.
En octobre 2013, 26,654 millions d’hommes et de femmes étaient au chômage dans l’Union dont 19,298 millions dans la zone euro. Par rapport à septembre 2013, le nombre de chômeurs a diminué de 75 000 dans l’Union et de 61 000 dans la zone euro. Comparé à octobre 2012, le chômage s’est accru de 512 000 personnes dans l’Union et de 615 000 dans la zone euro. Le chômage demeure au plus bas en Autriche (4,8%), en Allemagne (5,2%) et au Luxembourg (5,9%). Il demeure au plus haut en Grèce (27,3% en août 2013) et en Espagne (26,7%). Sur un an, le taux de chômage a augmenté dans la moitié des États membres et a baissé dans l’autre moitié. Les plus fortes hausses ont été enregistrées à Chypre (de 13,2% à 17,0%), en Grèce (de 25,5% à 27,3% entre août 2012 et août 2013) et aux Pays-Bas (de 5,5% à 7,0%).Les baisses les plus marquées ont été observées en Lettonie (de 14,0% à 11,9% entre les troisièmes trimestres 2012 et 2013), en Irlande (de 14,5% à 12,6%) et en Lituanie (de 13,0% à 11,1%). La France, avec un taux de chômage à 10,9 % se situe dans la moyenne pour l'Union européenne (10,9 +%) et en-dessous de la moyenne de la zone euro (12,1 %).
A titre de comparaison, au mois d'octobre 2013, le taux de chômage a été de 7,3% aux États-Unis, en hausse par rapport au taux de 7,2% enregistré en septembre 2013 et en baisse par rapport au taux de 7,9% observé en octobre 2012.
France, de modestes espoirs et des craintes
La France a enregistré une baisse de son chômage grâce à l’amélioration de la situation de l’emploi chez les jeunes en relation avec le développement des emplois aidés. Il faut noter que les départs à la retraite contribuent également à ce mouvement. En revanche, le chômage de longue durée se développe et concerne plus de 40 % des demandeurs d’emploi.
Questions craintes, les indicateurs relatifs à la confiance des ménages et de chiffres d’affaires redeviennent négatifs. De même, le recul de la consommation en octobre témoigne de la persistance de la crise. Les augmentations d’impôts pèsent sur l’activité économique plus fortement que prévu. Une augmentation d’un point de PIB des impôts réduit la croissance d’un point. De ce fait, le trend de la croissance reste toujours mal orienté.
Allemagne, Angela Merkel à la tête de sa deuxième grande coalition
Après 66 jours de négociation, la grande coalition est sur les rails. Ce délai dépasse la durée moyenne qui était de 37 jours. Les deux partis sont arrivés à un accord écrit de 185 pages. Ce contrat prévoit l’introduction d’un salaire minimum, l’abaissement de l’âge de départ à la retraite, la double nationalité pour les enfants nés en Allemagne de parents non ressortissants de l’UE, la parité homme-femme au sein des entreprises. Ces mesures sont issues du programme du SPD. L’ensemble de ces mesures représente 23 milliards d’euros sur 4 ans soit 1 point de PIB annuel. Le contrat de coalition semble donc, à première vue participer du changement de cap économique, que les Etats-Unis, le FMI et la Commission européenne ont appelé de leurs vœux au cours des dernières semaines.
Le salaire horaire minimum sera fixé à 8,50 euros à partir de 2015 et devrait concerner 7 millions de salariés, soit 16% de la masse salariale. Toutefois, la nouvelle loi devrait exclure les apprentis, les travailleurs saisonniers et les « mini-jobs ». Les secteurs où les accords de branche sont inférieurs à EUR 8,50 auront jusqu’en 2017 pour s’aligner. En outre, une commission paritaire formée de représentants des salariés (3), des employeurs (3) et d’experts (2) se réunira régulièrement pour négocier la réévaluation annuelle du salaire minimum. Sur le front
des retraites, le SPD voulait faire abroger la loi de 2007 qui prévoit de repousser à 67 ans l’âge de départ à la retraite d’ici à 2029. Désormais, la retraite à taux plein pourra être touchée dès 63 ans, mais sous certaines conditions, à savoir uniquement pour ceux qui auront totalisé 45 ans de cotisations.
En revanche, le SPD a renoncé à ses exigences européennes. Le contrat de coalition s’oppose à toute idée de mutualisation de la dette ainsi qu’à l’instauration d’un fonds européen de garantie des dépôts. En revanche, il est favorable à l’utilisation des fonds du MES pour recapitaliser directement des banques en difficulté, dans la mesure où « tous les autres moyens prioritaires » auront été épuisés.
L’objectif d’orthodoxie budgétaire est maintenu avec le maintien de l’équilibre du solde budgétaire structurel d’ici à 2015 et la réduction de la dette qui devrait être
ramenée à 70% du PIB d’ici à 2017, contre 80% en 2013. Il est également convenu que le Gouvernement ne recourra pas à des hausses d’impôts pour financer le train de nouvelles mesures.
La CSU a obtenu quelques concessions de ses partenaires. Les automobilistes étrangers empruntant les autoroutes allemandes ainsi que les poids lourds traversant le pays devront acquitter un péage. Néanmoins, cette mesure est contraire au droit européen.
Cet accord sera soumis à référendum auprès des 473 000 adhérents du SPD. Ces derniers voteront par correspondance entre les 6 et 12 décembre. Les résultats seront annoncés le 15 décembre.
Si le « oui » l’emporte le 15 décembre, le Bundestag se réunira le 17 pour réélire Angela Merkel, pour la troisième fois. La Chancelière disposera alors de quelques jours pour former son gouvernement. Par le passé, la répartition des portefeuilles ministériels était calquée sur celle des sièges obtenus au Bundestag. Ainsi le SPD devrait disposer de six portefeuilles ministériels sur les quatorze du nouveau cabinet Merkel. La CDU en aurait cinq et sa petite sœur bavaroise, la CSU, trois.
Etats-Unis, toujours en mode hésitant
Le retour de la croissance forte est toujours attendu. Les indicateurs avancés régionaux sont incertains. L’évolution des carnets de commandes de l’industrie manufacturière tend à confirmer les résultats moyens des enquêtes régionales.
Certes, il faut noter que les créations d’emplois ont été supérieures en octobre aux prévisions avec un solde positif de 212 000. Mais, le taux de chômage reste calé à 7,3% en octobre. De ce fait, le taux de chômage reste bien supérieur à son taux naturel. Ce dernier est estimé à 5,5% par le CBO (Congressional Budget Office) et entre 5% et 6% par les membres du FOMC. La main d’œuvre disponible est ainsi bien supérieure aux offres d’emplois, pesant sur la formation des salaires, dont la progression en glissement annuel évolue aux alentours de 2% depuis deux ans et demi.
Dans ces conditions, la politique monétaire ne devrait pas être modifiée.
A suivre... next week
Lundi 2 décembre, aux Etats-Unis seront communiqués les résultats dépenses de construction pour les mois de septembre et octobre
Toujours aux Etats-Unis, sera rendu public l’indice ISM manufacturier du mois de novembre. Il est attendu en baisse.
Au Royaume-Uni, il faudra suivre l’indice PMI manufacturier du mois de novembre.
En octobre, l’indice global du secteur manufacturier avait légèrement été en baisse. Après cette correction, il est attendu en hausse pour novembre.
Mardi 3 décembre
En France, il faudra suivre le débat sur l'avenir du nucléaire, à l'Assemblée nationale.
Mercredi 4 décembre, en France, sera rendu public l’indice PMI de services pour le mois de novembre. Se tiendra, par ailleurs un forum sur l'énergie, à l'université Paris-Dauphine, en présence.
Au Royaume-Uni, il faudra regarder l’indice d’activité dans les services qui avait atteint, dans les services, son niveau le plus élevé depuis le printemps 1997 (à 62,5, après 60,3 en septembre). L’indice pourrait subir une légère correction en novembre.
L’OPEP se réunit à Vienne. Il n’y a pas de changement de cap à attendre.
Aux Etats-Unis, seront communiqués l’enquête emploi ADP du mois de novembre, les ventes de logements neufs pour les mois de septembre et octobre et le Livre beige de la Fed.
Au Canada, est attendue une réunion de la Banque centrale.
Jeudi 5 octobre
En France sera publié le taux de chômage au sens du BIT pour le 3ème trimestre.
Au Royaume-Uni, la BoE se réunit. Compte tenu de l’évolution récente de la situation économique, la BoE devrait maintenir inchangé son taux directeur à 0,5%, ainsi que le montant de ses achats d’actifs à GBP 375 mds.
En parallèle, la BCE se réunit également. Le taux d’inflation de 0,9 % devrait rassurer le board. La BCE devrait laisser ses taux inchangés lors de la réunion de décembre.
Vendredi 6 décembre,
A Paris, se tient un sommet à l’Elysée sur la sécurité en Afrique. Toujours à Paris seront connus les résultats du commerce extérieur du mois d’octobre et la situation mensuelle budgétaire de l'Etat d’octobre.
A Washington, seront publiés les résultats des créations d'emploi et le taux de chômage du mois de novembre. Après un rebond en octobre, les créations d'emplois devraient se ralentir autour de 180 000 créations par mois.
Toujours aux Etats-Unis, sera rendu public l’indice ISM manufacturier du mois de novembre. Il est attendu en baisse.
Au Royaume-Uni, il faudra suivre l’indice PMI manufacturier du mois de novembre.
En octobre, l’indice global du secteur manufacturier avait légèrement été en baisse. Après cette correction, il est attendu en hausse pour novembre.
Mardi 3 décembre
En France, il faudra suivre le débat sur l'avenir du nucléaire, à l'Assemblée nationale.
Mercredi 4 décembre, en France, sera rendu public l’indice PMI de services pour le mois de novembre. Se tiendra, par ailleurs un forum sur l'énergie, à l'université Paris-Dauphine, en présence.
Au Royaume-Uni, il faudra regarder l’indice d’activité dans les services qui avait atteint, dans les services, son niveau le plus élevé depuis le printemps 1997 (à 62,5, après 60,3 en septembre). L’indice pourrait subir une légère correction en novembre.
L’OPEP se réunit à Vienne. Il n’y a pas de changement de cap à attendre.
Aux Etats-Unis, seront communiqués l’enquête emploi ADP du mois de novembre, les ventes de logements neufs pour les mois de septembre et octobre et le Livre beige de la Fed.
Au Canada, est attendue une réunion de la Banque centrale.
Jeudi 5 octobre
En France sera publié le taux de chômage au sens du BIT pour le 3ème trimestre.
Au Royaume-Uni, la BoE se réunit. Compte tenu de l’évolution récente de la situation économique, la BoE devrait maintenir inchangé son taux directeur à 0,5%, ainsi que le montant de ses achats d’actifs à GBP 375 mds.
En parallèle, la BCE se réunit également. Le taux d’inflation de 0,9 % devrait rassurer le board. La BCE devrait laisser ses taux inchangés lors de la réunion de décembre.
Vendredi 6 décembre,
A Paris, se tient un sommet à l’Elysée sur la sécurité en Afrique. Toujours à Paris seront connus les résultats du commerce extérieur du mois d’octobre et la situation mensuelle budgétaire de l'Etat d’octobre.
A Washington, seront publiés les résultats des créations d'emploi et le taux de chômage du mois de novembre. Après un rebond en octobre, les créations d'emplois devraient se ralentir autour de 180 000 créations par mois.